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lundi 6 janvier 2014

Isla Victoria y Bosque de Arrayanes





Notre deuxième sortie s’avéra légèrement perturbée. Nous avions choisi une mini croisière sur le lac Nahuel Huapi pour visiter la Isla Victoria et le Bosque de Arrayanes. En attente

pour monter à bord du célèbre Modesta Victoria,

le bateau commandé spécifiquement par le Conseil d ’administration des Parcs Nationaux , transporté en pièces détachées de Amsterdam à Bariloche et assemblé sur place en 1938 et qui célébre fièrement ses 75 années de navigation, (le bateau, pas Christiane)

 168 nous  nous rendons compte avec nos voisins que nous n’avons pas  nos tickets d’entrée dans le parc qui s’appelle bien évidemment Nahuel Huapi. Une course folle vers le guichet et un retour en catastrophe vers le bateau nous permet de partager ensuite un repas avec nos mêmes compagnons d’infortune.

Une « faim » très agréable à ce petit épisode.

Dès le départ, nous pouvons admirer au loin le Cerro Cathedral, 

la station de ski la plus populaire d’Argentine et rendez-vous du show-biz local. Uniquement pour intermédiaire ou mieux et ouvert même en été si cela vous intéresse.

Le soleil est au rendez-vous mais la température, l’eau du lac aidant, est plutôt froide.


Les passagers s’amusent à nourrir en plein vol les mouettes

qui nous suivent depuis le départ. L’environnement est vraiment superbe.

Nous mettons pied à terre  sur l’île
au fond d’une petite baie.

Les gens se dirigent ensuite vers un sentier naturel

alors que d’autres s’attardent au resto ou contemplent la vue de la rive.

Nous repartons toujours dans ce même décor de carte postale

vers Puerto  Quetrihue et el Bosque de Arrayanes.

Le parc qui faisait  partie du parc national Nahuel Huapi. reçut son indépendance en 1971 compte tenu de l’importance de la forest et surtout du type d’arbres qui s’y trouvent, l’arrayan.      ( Luma apiculata), arbres de la famille des myrtaceae possédant une fort belle écorce  dorée et de croissance extrêmement lente) Ces arbres de couleur cannelle sont maintenant en très petite quantité et l'on peut en retrouver au Japon par ailleurs.


On a aménagé

 un circuit pour les visiteurs où ils peuvent admirer de tous les angles ces magnifiques  spécimens ainsi que des constructions utilisant le même bois.





On a même des endroits pour y prendre de jolies photos.
Au retour, certains passagers ont eu des chaleurs devant la hauteur des vagues d’un mètre et demi 

 mais notre « jeune » rafiot a tenu le coup.

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