Le premier trajet Montréal-Houston donna lieu à une première pour nous. En effet, c’est la première fois que nous prenons un avion qui doit arrêter en chemin parce qu’il n'y a plus d’essence à bord. Escale donc à la Nouvelle Orléans non prévue et arrivée à Houston avec deux heures de retard. Un mal pour un bien puisque nous devions attendre cinq heures initialement pour le Houston-Buenos Aires qui partit quand même avec une heure de retard. L’arrivée à destination nous amena une autre surprise mon bagage était demeuré à Houston. En bref, nos premiers vols sur United Airlines sont à oublier : service affreux, bouffe infecte, aucun film disponible en français alors qu’ils le sont en japonais, chinois et même arabe. Viva Big Brother.
Heureusement la suite fut plus agréable. Excellent accueil de notre hôte qui avait dû patienter deux heures, appartement tout à fait convenable, (notez que nous utilisons airbnb.com pour nos réservations)
dans le quartier de Palermo.
L’après-midi, nous nous consacrons à faire les emplettes et à changer notre argent américain. Il faut savoir qu’il y a deux taux de change; l’officiel à environ 5.7 et au marché noir à 9.7, les deux taux fluctuant quelque peu à chaque jour. Marché noir est peut-être exagéré puisque les maisons de change ont pignon sur rue et que dans les quartiers touristiques, il y a des « changeurs » de monnaie à peu près tous les 100 pieds qui nous crient « cambio » lorsqu’on passe.
Une deuxième journée sous la flotte voire le déluge avec 50
millimètres de pluie et un plafond
nuageux très bas.
Cependant rien pour nous arrêter et nous visitons quelque peu
et en profitons pour réserver nos billets pour l’Uruguay et pour le spectacle de tango le soir même tout en admirant le magnifique plafond
du centre commercial
abritant le plus vieux théâtre de Buenos Aires. À suivre.
Cependant rien pour nous arrêter et nous visitons quelque peu
et en profitons pour réserver nos billets pour l’Uruguay et pour le spectacle de tango le soir même tout en admirant le magnifique plafond
du centre commercial
abritant le plus vieux théâtre de Buenos Aires. À suivre.
Ça me rappelle des souvenirs !!!
RépondreSupprimerToujours intéressant de vous lire. Pour les bagages, on a connu cela il y a deux ans en allant à l'Île St-Thomas (dans les îles vierges américaines). Il n'y a rien de plus risqué qu'une escale dans un aéroport très achalandé.
RépondreSupprimerMerci de nous faire connaître ces autres endroits de voyage.
Robert et Jocelyne
Bonne route à vous deux, malgré les bévues, c'est parti. Je prends note de l'adresse airbnb.com, j'irai visiter le site. C'est une bonne façon de voyager quand on part sans auto.... le plafond nuageux bas, ça fait de belles photos.
RépondreSupprimerSalutations
Céline